Les timbres de Bretagne #4

Notre nouvelle saga inaugurée en janvier (voir la Région Bretagne, les Côtes d’Armor, et le Finistère) nous mènera en 6 épisodes à admirer les timbres bretons. Quatrième numéro très chargé aujourd’hui : le département d’ Ille-et-Vilaine. Bonne lecture !

L’ Ille-et-Vilaine … ses villes et lieux historiques

Et commençons donc par son chef-lieu, la ville de Rennes, qui a eu l’occasion d’être timbrifiée quelque fois. ce sont tout d’abord ses armoiries qui ont été représentées (YT534). Ce blason se défini ainsi : « Palé d’argent et de sable de six pièces, au chef d’argent chargé de cinq mouchetures d’hermine de sable. ». Le blason est repris par le mobilier urbain et par des édifices publics, privés ou religieux de la ville ou d’ailleurs (en particulier le lycée Emile Zola)..

En 1962, une première émission du Parlement de Bretagne a lieu (YT1351) à l’occasion du 35è Congrès philatélique.
Le 4 février 1994 lors d’une violente manifestation de pêcheurs ce symbole et ce témoin de l’histoire des libertés bretonnes est détruit par le feu. Des pompiers et des bénévoles réussissent à sauver des flammes quelques précieuses tapisseries, hélas en 1996 certaines brûleront lors de l’incendie de leur atelier de restauration.
Les locaux du Parlement de Bretagne ont été rouverts au public à l’occasion des journées du patrimoine le 19 septembre 1999.

En 2000, le Parlement rénové sera à nouveau immortalisé sur un timbre (YT3307).

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Partons à présent sur la côte. Saint Malo fera l’objet d’une première émission dès 1938 (YT394), émission qui sera rééditée avec une surcharge 10f sur 20f en 1941 (YT492). Le timbre représente la ville intra-muros avec au premier plan le port et trois bateaux.

Une nouvelle émission de la Cité corsaire aura lieu en 1945 pour immortaliser les dégâts des bombardements sur les remparts pendant la 2è Guerre mondiale (YT747). C’est Guy de la Chambre, ancien Ministre, qui lancera la reconstruction de Saint Malo.  Ce timbre a été émis avec une forte surtaxe égale à la valeur faciale du timbre, destinée à la reconstruction de la ville.

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Enfin, Saint-Malo a fait l’objet d’une troisième émission en 2007 (YT4020) dans le cadre de la série « Portraits de Régions n°9.

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Passons maintenant au sud du département, et plus exactement à Redon. En 1987 (YT2462), c’est la Tour centrale de l’Abbatiale Saint-Sauveur qui est immortalisée. Le clocher de cette abbatiale du XIIe siècle est considéré comme le plus beau monument roman de Bretagne.

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Cap à l’Est enfin pour visiter les deux autres sous-préfectures du département, et tout d’abord Vitré et son château (YT1949). Construit à la fin du XIè siècle sur un promontoire rocheux qui domine la Vilaine, il est un des tout premiers châteaux à être classé monument historique dès 1872.

Et pour terminer ce tour d’Ille et Vilaine, voici Fougères et son château-fort (YT1236), la plus grande forteresse d’Europe. Balzac y puisera son inspiration pour son roman Les Chouans. Quant à Victor Hugo, c’est la Tour Mélusine qu’il décrira longuement dans Quatre-vingt treize.

L’ Ille-et-Vilaine … ses hommes et femmes célèbres

Jacques Cartier (YT296 et 297)

Jacques Cartier, navigateur et explorateur français, est né probablement entre le 7 juin et le 23 décembre 1491 à Saint-Malo, où il est mort le 1er septembre 1557. Il est le découvreur du Saint-Laurent et du Canada. Un troisième timbre (YT2307) lui sera consacré lors d’une émission commune avec le Canada.

François-René de Chateaubriand (YT816)

né à Saint-Malo le 4 septembre 1768, il passe sa jeunesse au Château de Combourg. Il vient à Paris et à la Cour du Roi, il voyage en Amérique, de retour en France, déçu par la monarchie, il annonce les violences qui naitront des inégalités sociales. Il émigre en Angleterre jusqu’en 1800, il se brouille avec Bonaparte en 1804 et part faire un voyage en Orient. En 1814 il entame une carrière politique, est nommé Ambassadeur à Berlin puis à Londres, il devient Ministre des Affaires Étrangère de 1822 à 1824 puis est nommé Ambassadeur à Rome. Il meurt à Paris le 4 juillet 1848,
Chateaubriand a été, a sa demande, enterré sur l’Ile du Grand Bé, face à Saint Malo, en breton veut dire tombe. Chateaubriand est considéré comme le père du romantisme.

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Madame de Sévigné (YT874)

Marie de Rabutin-Chantal, Marquise de Sévigné, femme de lettre née le 5 février 1626, décédée le 17 avril 1696. A écrit la plupart de ses correspondances à sa fille depuis son manoir des Rochers, près de Vitré.

Madame de Sévigné sera « retimbrifiée » en 1996 dans la série Europa (YT3000A).

Robert Surcouf (YT894)

Marin né à Saint-Malo le 12 décembre 1773 , mort le 8 juillet 1827 à Saint-Servan. Après de longues courses dans l´Océan Indien contre les anglais à bord du côtre «Le Renard» il s´installera comme armateur à Saint-Malo.
Le Renard avait été armé en Course par Robert Surcouf en 1812, il permit la capture de 47 vaisseaux en 4 ans, le 10 septembre 1813 il livra victorieusement son dernier combat contre la goëlette anglaise «L´Alphéa»
Le Renard, maintenant restauré, navigue pacifiquement dans les eaux malouines.
Robert Surcouf avait un grand sens de la formule: aux anglais qui lui disaient «Vous, les français, vous vous battez pour l´argent alors que nous, anglais, nous battons pour l´honneur» Robert Surcouf leur répondit «Chacun se bat pour ce qui lui manque» !

François Zacharie Roussin (YT898)

François Zacharie Roussin, médecin militaire et chimiste, né à Vieux Vy sur Couesnon (Ille et Vilaine) le 6 septembre 1827, mort le 8 avril 1894.
On lui doit la découverte de la naphtazarine (colorant de la famille des diaryl ou triarylméthanes servant en peinture ou dans l’industrie des matières plastiques), ses travaux ont permis le développement de l’industrie des colorants.

Maurice Nogues (YT907)

Né à Rennes le 31 octobre 1889 – Mort à Corbigny (Nièvre) le 15 janvier 1934.

Aviateur, pionnier de l’aviation commerciale internationale, pilote à la Franco Roumaine où en 1922 il réalisa la première liaison commerciale Bucarest-Constantinople-Ankara, puis chef pilote de cette compagnie en 1923, il ouvrit le service postal France-Indochine en 1930. Il créa Air-Orient en 1926.
Il se tue le 15 janvier 1934 lors du crash de son avion Dewoitine D.332″ L’Émeraude » à Corbigny (Nièvre), de retour d’Indochine. Ses 10 passagers dont le gouverneur général français de l’Indochine Pierre Pasquier sont tués. A l’aller il venait d’établir le record de vitesse entre Paris et Saïgon.

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Lamennais (YT1111)

Félicité Robert de Lamennais, écrivain, philosophe, homme politique et religieux libéral, né à Saint-Malo le 19 juin 1782, mort à Paris le 27 février 1854. Il rompit avec l´Eglise.
Il traduisit «L´Imitation de Jésus-Christ». Il fut partisan d´un humanisme socialisant et mystique.
Il fut Député de gauche à l´Assemblée de 1848.

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Pierre Fauchard (YT1307)

Pierre Fauchard (Rennes 1678 – Lorient 1761), médecin et chirurgien est considéré comme le fondateur de la stomatologie.Extrait du site italien du «Girso 98» :
Vers la fin du XVIIIème siècle la médecine commença à faire partie de la vie sociale. La visite du médecin devint une habitude dans la vie de chacun et celui-ci pénétra les aspects les plus intimes de la vie de ses patients. Les chercheurs français font naître l’odontologie en 1728, date à laquelle Fauchard publia «Le chirurgien dentiste».
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Docteur François Broussais – YT 1736
Médecin, chirurgien de marine, né à Saint-Malo en 1772, mort en 1838. Il passera son enfance à Pleurtuit.
Il élaborera sa théorie originale des relations entre « vie » et « stimulus » et sur l’interdépendance (ou « sympathies ») des divers organes. Ces idées rencontrent un grand succès auprès des étudiants, mais lui attirent la foudre de la Faculté, qui lui reproche d’abuser des saignées.
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René Duguay-Trouin – YT1748
Né à Saint-Malo en 1673, mort en 1736, il fut Corsaire au service de Louis XIV et Lieutenant-Général sous Louis XV. Capitaine des vaisseaux du Roi à 24 ans, chevalier de l’ordre de Saint-Louis à 34 ans, anobli à 36 ans, chef d’escadre à 42 ans. Il siège à 50 ans en 1723 au Conseil des Indes, il est nommé lieutenant général des armées navales en 1728, pour finir par commander successivement les ports de Brest en 1731 et de Toulon en 1736.
Il s’est battu contre les Hollandais et s’empara de Rio de Janeiro.
Saint Louis Grignion de Montfort – YT1784
Louis-Marie Grignion de Monfort, né le 31 janvier 1673, à Montfort, et décédé le 28 avril 1716, à Saint-Laurent-sur-Sèvre (Vendée), est un prêtre français et fondateur de deux congrégations religieuses la Compagnie de Marie (Pères Montfortains) et des Frères de l’instruction chrétienne de Saint-Gabriel.
Représentant majeur de la seconde génération de l’École française de spiritualité il a été canonisé en 1947 par Pie XII. Liturgiquement il est commémoré le 28 avril.
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Jean-Marie de La Mennais – YT2097
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Frère de Félicité, cité plus haut, Jean-Marie de La Mennais, prêtre né à Saint-Malo le 8 septembre 1780, est mort à Ploërmel le 26 décembre 1860 .
Fondateur de la congrégation des frères de l´Instruction Chrétienne, dite «de Ploërmel».
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Pierre Waldeck-Rousseau – YT2305
Avocat d’affaires, Député d’Ille-et-Vilaine de 1879 à 1889,  Ministre de l’Intérieur de 1881 à 1882 et de de 1883 à 1885, Président du Conseil de 1899 à 1902, il a exercé le plus long ministère de la IIIème République.
En 1882, alors ministre de l’Intérieur du premier cabinet Gambetta il présenta une proposition de loi relative à la liberté d’association. Il fit voter la loi du 21 mars 1884 autorisant les syndicats. Cette loi qui va changer les rapports sociaux est au départ très mal accueillie par le monde ouvrier, les souvenirs de la commune étant encore très présents dans les esprits, la méfiance de tout ce qui vient de l’Etat et de son gouvernement est alors extrêmement vive.
Il fit grâcier le Capitaine Dreyfus en 1899, et fut le maître d’oeuvre de la loi du 1er juillet 1901 sur les associations, «la Loi 1901».
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Maupertuis – YT2428
Ce timbre commémore le 250ème anniversaire de la mesure d’arcs de méridiens près du pôle, en Laponie, par Maupertuis (à gauche) mathématicien né à Saint-Malo 1698, mort à Bâle le 27 juillet 1759, et au Pérou par La Condamine (à droite) savant aventurier. L’objectif de ces mesures était de résoudre la controverse parmi les savants français concernant l’aplatissement de la Terre dans les régions polaire (opposant Newton à Cassini).
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La Bourdonnais – YT2520
Bertrand François Mahé Comte de La Bourdonnais né le 11 février 1699 à Saint Malo, mort à Paris le 10 novembre 1753, s’engage comme marin dans la Compagnie Française des Indes. Principal artisan de la prise du comptoir de Mahé (1725) dont il reçoit officiellement le nom. Gouverneur en 1735 de l’lle Bourbon (Ile de la Réunion) et de 1735 à 1747 de l’Ile de France (Ile Maurice), dont il a assuré le développement, il y fonde la première sucrerie.
Il constitue sa propre escadre et s’empare de Madras (1746). Il refusa de démanteler cette ville malgré les ordres de Dupleix qui l’accuse de trahison et le fait jeter à la Bastille de 1748 à 1751. Reconnu innocent, il est libéré mais meurt quelques mois plus tard en 1753..

Michel Gérard – YT2591

Michel Gérard dit « le père Gérard », cultivateur, fut élu député du tiers état de la sénéchaussée de Rennes aux États généraux de 1789.
Figure pittoresque de la Révolution française, il se rendit à la convocation des États généraux de 1789 dans son habit de cultivateur, et devint une figure populaire de la Constituante. Il demanda la suppression des droits sur les alcools (décembre 1789) et des banalités (mars 1790) et plaida pour l’augmentation du salaire des curés de campagne. Il apparait (en bas à gauche) sur ce « Serment du Jeu de Paume » de Jacques-Louis David, aux cotés de Mirabeau et Robespierre.

Jean Guéhénno – YT2641

Académicien né à Fougères en 1890, mort en 1978. Jean Guéhenno a raconté son enfance pauvre dans son livre Changer la vie : fils d’un cordonnier d’une petite ville industrielle de Bretagne, Fougères, il est contraint d’abandonner l’école à quatorze ans pour s’engager comme employé dans une usine de galoches, mais continuera à étudier seul, après ses journées de travail. Il réussira à obtenir le baccalauréat.

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Lancelot du Lac – YT3115

Guy Coda a réalisé la maquette du carnet et dessiné le personnage principal du timbre, Serge Hochain a dessiné le décor et les petits personnages secondaires.

Ce timbre fait partie du carnet élu «Plus beau carnet de l´année 1997».
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Paul Feval « Le Bossu » – YT3120
Paul Henry Corentin Féval est un écrivain français, né le 29 septembre 1816 à Rennes et mort le 7 mars 1887 à Paris.
Son oeuvre, composée de plus de 200 volumes dont de nombreux romans populaires édités en feuilleton, eut un succès considérable de son vivant, égalant celle d’Honoré de Balzac et d’Alexandre Dumas.
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Alfred Dreyfus – YT3938

En 1899 a lieu à Rennes le deuxième procès d’Alfred Dreyfus, après 12 ans de souffrances et d’injustices : il sera à nouveau condamné avant d’être réhabilité par la Cour de Cassation.Le 13 juin 2006 Pascal Clément, Garde des Sceaux, Ministre de la Justice, a qualifié l’Affaire Dreyfus d’«erreur judiciaire» l’avocat et écrivain Jean-Denis Bredin a immédiatement rectifié :«ce ne fut pas une erreur judiciaire,mais un « crime judiciaire« ».

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Anne de Bretagne – YT – 2014
On ne présente plus la Duchesse Anne qui a déjà fait l’objet de plusieurs articles sur le site.
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L’Ille-et-Vilaine … son savoir-faire
L’Usine marémotrice de la Rance – YT1507
Les premiers travaux commencent en 1961. Louis Arretche, architecte de la reconstruction de Saint-Malo, en est l’architecte-conseil.
Les deux premières années, les travaux visent à créer une zone sèche où l’usine pourra être construite. Pour cela, deux batardeaux provisoires sont créés de part et d’autre du site actuel de l’usine. La construction de l’usine, proprement dite, débute le 20 juillet 1963, lorsque la Rance est entièrement coupée par des barrages formés de deux rangées de batardeaux.
Les travaux durent trois ans et s’achèvent en 1966. Charles de Gaulle, président de la république, inaugure l’usine le 26 novembre 1966. L’inauguration de la route franchissant l’usine a lieu le 1er juillet 1967 et le raccordement au réseau EDF, le 4 décembre 1967.
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Cap-Hornier malouin « L’Antoinette » – YT1674
C’est aux marins Cap-Horniers que l’on doit l’actuelle mode de l’anneau d’or sur le lobe de l’oreille, en effet les marins qui devaient franchir la Cap Horn se faisaient mettre un anneau d’or à l’oreille afin qu’en cas de naufrage ceux qui découvriraient leur corps puisse leur payer un enterrement religieux grâce à la valeur de cet anneau.
De ce fait l’anneau d’or à l’oreille fut le privilège et le signe de reconnaissance des marins ayant franchi le Cap Horn ( … et qui en revinrent !)
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Terre-Neuvas « Côte d’Emeraude » – YT1717
Le trois-mâts goélette Terre-Neuvas « Côte d’Émeraude » a été construit en 1925 par les chantiers Gautier de Saint-Malo.
Ce timbre a reçu le Grand prix de l’Art Philatélique 1972 pour Roger Chapelet et Claude Durren, respectivement dessinateur et graveur.
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La télématique – YT2130
La télématique est un terme qui recouvre les applications associant les télécommunications et l’informatique, apparu en France à l’occasion de la filière technologique qui allait donner naissance au Minitel, précurseur de l’Internet.
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Ecole Supérieure d’Electricité – YT2937
Le timbre commémore en 1995 le centenaire de SUPELEC. Le campus de Rennes à quant à lui été inauguré en 1972.
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La « Confiance » – YT4249
«La Confiance», goëlette de 364 tonneaux, armé de 18 canons et servie par185 hommes d’équipage, fut un des célèbres navires de Robert Surcouf.
La « Grande Hermine » – YT4250
La Grande Hermine fut quant à elle un des 3 navires du deuxième voyage de Jacques Cartier vers le Canada (1535-1536)
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Georges de La Tour « Le nouveau-né » – YT1479

Georges de La Tour, né le 14 mars 1593 à Vic-sur-Seille (Moselle) et mort le 30 janvier 1652 à Lunéville (Meurthe-et-Moselle), est un peintre lorrain.
Artiste au confluent des cultures nordique, italienne et française, contemporain de Jacques Callot et des frères Le Nain, La Tour est un pénétrant observateur de la réalité quotidienne, avec son goût prononcé pour le naturalisme et le soin attentif qu’il porte au jeu de l’ombre et de la lumière. Mais pourquoi le faire figurer dans les timbres d’Ille-et-Vilaine me direz-vous ? Tout simplement parce que ce chef d’œuvre est conservé au Musée de Beaux Arts de Rennes.

L’ Ille-et-Vilaine … ses sites et monuments

La Forêt de Brocéliande – YT3944

Brocéliande est une forêt mythique de la légende arthurienne, où se déroulent de nombreux récits mettant en scène Merlin, les fées Morgane et Viviane, ainsi que certains chevaliers de la table ronde. Les textes y situent plusieurs hauts lieux et hauts faits, notamment le val sans retour où Morgane piège les hommes infidèles jusqu’à être déjouée par Lancelot du lac, et la fontaine de Barenton réputée pour faire pleuvoir. Brocéliande serait aussi le lieu de la retraite, de l’emprisonnement ou de la mort de Merlin.

Voilà, c’est tout pour aujourd’hui : je vous donne rendez-vous aux alentours du 25 du mois prochain pour notre prochain épisode concernant le département breton suivant (dans l’ordre alphabétique) : la Loire Atlantique !

Vous connaissez d’autres timbres qui présentent l’Ille-et-Vilaine et qui ne sont pas répertoriés ici ? Signalez-le nous en laissant un commentaire !

D’après une idée du Collège Mme de Sévigné de Mauron, et certains commentaires de Phil Ouest.

Une réflexion au sujet de « Les timbres de Bretagne #4 »

  1. Je m’aperçois d’une chose en lisant l’article : sur le deuxième timbre illustrant le Parlement de Bretagne rénové, l’arc-en-ciel traverse le toit … juste à l’endroit où il a pris feu en 1994 ! Coïncidence ou fait exprès ?

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