Le porte-avions Charles de Gaulle a retrouvé mardi son port d’attache de Toulon après plus de cent jours en mer, notamment dans le Golfe Persique où il a participé aux frappes contre l’Etat islamique et offert une visibilité commerciale aux Rafale.
« On a fait le job dans une zone où les cartes bougent en permanence avec un Yémen qui s’effondre et un Iran très présent dans le Golfe », témoigne le capitaine de vaisseau Pierre Vandier, commandant du porte-avions qui avait quitté la France le 13 janvier avec pour destination finale l’océan Indien.
Dans l’espace restreint du golfe arabo-persique où s’entrecroisent des routes maritimes vitales pour l’économie mondiale, le déploiement du Charles de Gaulle, au sein du groupe aéronaval français, n’est pas passé inaperçu.
Au-delà de la dimension stratégique d’un tel déploiement Suite sur le blog de la marcophilie navale de notre adhérent Jean-Michel …