>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>> Demain, début de notre jeu-concours : préparez vos commentaires ! <<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<
14ème numéro de Phil’Apprendre, nouvelle chronique exclusive de PHILAPOSTEL Bretagne. En lisant attentivement tous les articles de cette chronique, vous apprendrez tout (ou presque) sur votre loisir préféré et deviendrez à coup sûr un philatéliste averti !
Aujourd’hui, 3è numéro sur les diverses étapes de production d’un timbre-poste par Phil@poste (voir aussi notre article sur Yves Beaujard et les Taaf) :
Les essais de couleur
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A partir des années 1950, les essais de couleurs ont succédé aux épreuves de couleurs.
Ces essais sont en fait des feuilles de timbres non dentelés.
Le code couleur utilisé jusqu’en 1965 est le même que celui des épreuves de couleur :
1100 —> bleu
1200 —> orange
1300 —> vert
1400 —> rouge
1500 —> violet
1600 —> noir
1700 —> marron
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Après 1965, le code couleur est remplacé par un autre code constitué de deux lettres pour la couleur de base et d’un nombre (de 1 à 3 chiffres) pour la couleur précise :
BL = Bleu
BR = Marron
JO = Jaune Orange
NO = Noir
RO = Rouge
VE = Vert
VT = Violet
G = Gris
Il était imprimé entre 400 et 700 essais distribués aux officiels.
Contrairement aux épreuves, les feuilles d’essais peuvent être divisées donnant ainsi des isolés :
Phil@poste n’utilise plus désormais d’essais de couleur : ils ont été supprimés en 1982.
En Autriche, les isolés sont essais de couleur possible collés sur une brochure de présentation de plusieurs pages :
A suivre …
Avec l’aimable autorisation de E. Poulouin, P. Courtiade, JM. Bonnard et V. Manta.
Des choses à ajouter, à préciser ? N’hésitez pas, laissez vos commentaires ! Et à bientôt sur Phil’Apprendre