Le traditionnel Salon d’Automne à Paris vient de fermer ses portes, et je vous propose de vous partager quelques informations suite à ma visite le jeudi après-midi. Cette année, le 11 novembre tombant un samedi, les organisateurs avaient choisi les mercredi, jeudi et vendredi pour la tenue de cette manifestation.
Les collectionneurs ont eu plaisir à s’y retrouver, surtout le mercredi où la file d’attente était importante.
A mon arrivée vers 12h30 jeudi, pas de file d’attente et une multitude de « sacs cadeau » encombre l’entrée : signe du manque de visiteurs ? Direction le stand de La Poste où j’écope du numéro 317 ; je serai servi vers 15h30 soit 3 heures plus tard : peut mieux faire … Qu’en a-t-il été des visiteurs du mercredi ? Ont-ils pu être tous servis ?
Les employés de La Poste sont compétents et sympathiques, et toute ma commande est satisfaite. Pas de longues files d’attente aux oblitérations, ni aux dédicaces, et plus surprenant encore : personne aux machines LISA !
Découverte de la nouvelle Marianne de l’avenir, et personnellement ma première impression est confirmée : de loin un design plein d’allant et de vitalité, mais de près une impression de flou, de « pas fini ». Mais les goûts et les couleurs … Qu’en pensez-vous de votre côté ? Dites-le nous en commentaire !
Mes courriers sont désormais postés dans l’enceinte du Salon, en espérant que cette fois et malgré les dernières tempêtes, de vilaines vagues ne viendront pas les embellir 😉
Les négociants sont toujours au nombre d’une quarantaine, où l’on retrouve les habitués. Les allées sont quasi vides, à part le stand du négociant allemand qui propose dans de nombreux « bacs à fouiller » des séries et blocs bon marché qui intéressent les collectionneurs.
La Polynésie Française était cette année l’invité d’honneur, et attirait également un certain nombre de personnes.
PHILAPOSTEL disposait d’un stand qui a permis de faire connaître notre association et faire adhérer une vingtaine de collectionneurs pendant les deux premiers jours : bravo ! De quoi participer au maintien voire à l’augmentation des effectifs encore cette année, et conforter notre place de plus importante association française de collectionneurs !
Plusieurs collections très intéressantes étaient exposées : les courriers précurseurs de Tahiti, les cartes maximum de Gauguin en Polynésie, les courriers de la poste locale du Spitzberg, ou encore les hommes qui ont fait l’histoire de France en maximaphilie.
Et puis Luc Mangin, adhérent PHILAPOSTEL, présentait une partie de sa collection sur un sujet d’actualité : les timbres NFT, collection qui a eu du succès au vu du nombre important de « visites guidées » que Luc s’est employé à satisfaire.
Voici pour finir quelques photos de ces collections :
A voir aussi sur le sujet :
Effectivement la Marianne de l’Avenir fait plus d’effets en grande taille vue de loin que dans son format réduit vue de près.
Mais bon ce n’est qu’un avis partial
Gérard
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