Sur les quais de Brest, alors qu’une brise estivale caresse les côtes, elles sont des dizaines à attendre le retour de leurs marins de maris. Quatre ans que ces femmes n’ont pas revu leurs hommes partis au bout du monde. En quarante-huit mois, pas un coup de fil, un SMS, un selfie, une conversation Whatsapp. À peine quelques lettres.
Mais à quelle époque vivent-elles ? Un temps que les moins de… 230 ans ne peuvent pas connaître.