Voici une nouvelle vidéo qui raconte l’histoire des faux timbres de Jean Spérati.
On connaissait les faux timbres, voici les fausses capsules !
Notre dernière Bourse aux Livres et aux Collections a eu un franc succès puisque l’ensemble des 120 tables exposants avait été réservé, et que nous avons accueilli plus de 400 visiteurs lors de cette journée. Toutefois, petite ombre au tableau : ce message, reçu de la part d’un des visiteurs, collectionneur placomusophile, qui ne fait pas plaisir aux organisateurs même si nous n’y sommes pour rien, mais que j’ai choisi de vous livrer dans son intégralité :
« Dimanche dernier, comme chaque année, je me suis rendu à votre bourse de Vern, dont j’apprécie l’organisation et l’ambiance. Et comme chaque année également, je me suis Lire la suite
La Polynésie française commémore le voyage scientifique de La Coquille entre 1822 et 1825, avec l’émission de ce très beau bloc.
1822 … Un bicentenaire donc ! Et non pas un centenaire comme l’indique le timbre réalisé par Philaposte. Cette émission rejoindra donc les nombreuses autre erronées, comme celles de notre récente conférence…
Il n’y a pas que pour les timbres où il existe des faux : voici le producteur Mongery qui nous informe que des fausses capsules sont en circulation. Attention donc !
Bernard Quirin, administrateur du groupe facebook « Etudes philatéliques » et adhérent de PHILAPOSTEL Bretagne, nous rappelle ce principe mathématique bien connu …
Les vignettes de la Chambre de Commerce de Saint Nazaire (les vraies, ci-dessous) ont été réalisées en 1945 dans des conditions douteuses, comme beaucoup de « timbres » dits » de guerre » et « de la Libération » pour le plus grand bénéfice du libraire qui les a commercialisés à l’époque. Les cotes ne sont pas pour autant négligeables (185€ en neuf** et 210 en oblitéré).
Les 50 000 exemplaires imprimés à l’époque ne semblent pas avoir suffi. Voilà des faux
Voici trois informations qui devraient intéresser les collectionneurs de capsules :
La philatélie connait ses faux timbres destinés à tromper La Poste ou/et les collectionneurs, voici désormais la capsule frauduleuse ! Emise sans l’avis du producteur – mais sous son nom ! – cette capsule ne doit pas être considérée comme véritable. Le club Bulles de Gones 69 communique :
La capsule des Cheyennes, A2 chez JEANGOUT & fils sur Allcaps, a été réalisée sans l’accord du producteur et n’a donc jamais été non plus sur Lire la suite
Envoyer du courrier coûtera un peu plus cher encore en 2022. La Poste annonce, ce lundi, une nouvelle augmentation des prix pour plusieurs de ses timbres et autres envois à partir du 1er janvier 2022, afin « d’assurer la pérennité » de son service.
En moyenne, les tarifs courrier augmenteront de 4,7 %, résume l’entreprise. Le timbre rouge, prioritaire (livraison en 24 heures), connaîtra la plus haute augmentation, passant de 1,28€ à 1,43€, tandis que le timbre vert (envoi en deux jours ouvrés), coûtant actuellement 1,08€, montera à 1,16€.
Le premier timbre français, émis en 1849, fut contrefait quelques mois seulement après sa mise en service ! Découvrez l’histoire de la falsification des timbres-poste français jusqu’à nos jours avec l’expert en philatélie Jean-François Brun, en visionnant sa conférence du 1er juillet au Musée de La Poste :
Le 30 avril 2003, Yvonne de Sperati, la fille du plus célèbre copieur de timbres, récupère l’héritage de son père. Un carnet de toutes ses pièces, volé en 1967 et qui a pu revenir depuis New York jusqu’à son berceau savoyard sous la pression diplomatique.
Yvonne de Sperati, toute à sa joie de remettre la main sur le carnet que son père lui avait offert pour ses 28 ans, en septembre 1952. Il avait été volé en 1967 dans la villa familiale « Clair de lune », à Aix-les-Bains. Lire la suite
Faire décoller un avion depuis un navire : aujourd’hui, l’idée semble banale, mais au début du XXe siècle, il s’agit d’une petite révolution. En France, la première tentative date de 1928.
L’objectif est le suivant : faire gagner du temps aux liaisons postales avec les Etats-Unis, en expérimentant un nouveau mode de transport du courrier – par paquebot sur la plus grande partie du trajet puis par hydravion, plus rapide, une fois la terre ferme à proximité.
C’est ainsi que, le 8 août, le paquebot Ile-de-France quitte Le Havre pour New York, avec à son bord un hydravion. Le 13 août, à environ 400 miles des côtes, celui-ci est catapulté depuis la rampe de lancement installée sur la plage arrière du bateau. L’opération est un succès. Vers 17 h, l’hydravion amérit sans encombre à New York, après avoir parcouru la distance en seulement trois heures (là où il en aurait fallu cinq fois plus à l’Ile-de-France). Le lendemain, les grands quotidiens peuvent titrer « Ship’s plane saves 15 h with mail » (« Un avion embarqué sur un navire fait gagner 15 h au courrier »).
Lors du voyage retour, le 23 août, l’opération se renouvelle avec le même succès… à une différence près. Alors qu’à l’aller le courrier était affranchi avec des timbres ordinaires, au retour, il est porteur de timbres spécialement confectionnés pour l’occasion. L’initiative en revient à Jules Cohen, l’agent des postes embarqué à bord de l’Ile de France qui a profité de l’escale à New York pour faire apposer une nouvelle valeur faciale (10 francs) sur 3 000 timbres à 90 centimes (à l’effigie de Berthelot) et 1 000 timbres à 1,50 franc (à l’effigie de Pasteur). La raison d’être de cette opération ? Officiellement, il s’agissait de remédier en urgence à la pénurie de timbres à 10 francs existant à bord de l’Ile de France… En réalité, cette pénurie a été organisée par Jules Cohen lui-même, dans l’objectif de créer une spéculation. Le stratagème fonctionne : dès le 23 août au soir, les timbres surchargés se négocient déjà 100 francs l’unité… soit 10 fois plus que leur prix de vente initial. Suite …
Source : Interencheres.com
Né en 1838 en Ecosse, à Ayrshire, il devient orphelin très jeune. Un oncle qu’il ne connaissait pas, le recueille chez lui, en Amérique. Mais la cohabitation ne se passe pas Lire la suite
Alain Jacquart et Vincent Beghin de la maison Calves vous donnent quelques « trucs » pour identifier les timbres retravaillés sur le marché français.
Les réparations sont un sujet très pointu. Il était en effet fréquent, et ce, jusqu’au milieu du XXème siècle, de prendre le temps de « retravailler » les timbres avec défauts pour les faire apparaître comme premier choix. Il pouvait s’agir, notamment, de Lire la suite
Jean de Sperati (né Giovanni Desperati le 14 octobre 1884 à Pistoia en Italie et mort le 27 avril 1957 à Aix-les-Bains en France) est un faussaire italien qui exerça en France.
Spécialisé dans la réalisation de faux timbres-poste de collection, il est considéré comme Lire la suite