La collection piquante de …

La collection piquante de … Monsieur Pin’s

Dans le flot des exposants de la braderie qui a animé, début août, les rues d’Armentières, Roger Mille détonnait. Cet « épinglé » de 84 ans exposait une impressionnante collection de Pin’s. Près de 5 000 pièces pour raconter l’histoire d’une passion à pointes.

Au milieu du bric-à-brac de bibelots, jouets et vêtements de la braderie d’Armentières, les tables de Roger Mille attiraient l’œil. Des pin’s à perte de vue. Accrochés sur une vingtaine de planches et jusqu’au gilet et au chapeau du collectionneur venu de Wattignies. Et ce n’est que la partie émergée de l’iceberg. « Il y en a environ 5 000 ici, ceux que j’ai en double ou triple, mais chez moi j’en ai dix fois plus. J’ai même fait installer de la moquette sur les murs de mon hall d’entrée pour y accrocher plus de deux cents Pin’s à l’effigie des personnages Disney. »

pins« Ça n’arrêtera jamais »

Ce « Monsieur Pin’s », comme il aime se faire appeler écume donc les braderies et bourses de collectionneurs pour vendre ou échanger ses précieux bouts de métal. « Tant que les gens auront une passion, ils voudront le Pin’s qui y correspond, ça n’arrêtera jamais. »

Et côté longévité, cet « épinglé » de 84 ans sait de quoi il parle. « J’ai commencé à l’âge de dix ans, en 1940, avec les insignes militaires. Je me suis constitué une collection assez importante. Un demi-siècle plus tard, le Pin’s a fait son apparition et j’ai échangé ma collection d’insignes pour m’en procurer. » Après toutes ces années passées à rechercher, échanger et acheter ces épinglettes, Roger Mille est devenu intarissable sur le sujet. « Il y a trois fabricants qui font de très bons Pin’s, ils utilisent en général du zamac, un alliage de zinc et d’aluminium. Il faut aussi regarder la pointe. Si elles sont serties dans la masse c’est généralement signe de qualité. »

Des collectionneurs avisés aux nostalgiques en tous genres, de 10 centimes à 8 euros, chacun pouvait, hier, trouver son bonheur sur les tables de « Monsieur Pin’s ». Loin de pouvoir vivre de cette passion, pour lui, l’important est de la faire connaître. Quitte à donner régulièrement des Pin’s aux enfants qui le demandent, pour créer, peut-être, d’autres vocations « d’épinglés ».

Voir d’autres photos sur le site de La Voix du Nord

La collection unique d’un Dieppois, passionné de romans populaires

Souvent méprisés et considérés comme de la « sous-littérature », les romans populaires font malgré tout partie du patrimoine littéraire français. Un Dieppois, Jean-Paul Gomel, les collectionne depuis plusieurs années. Il en possède près de 32.000, stockés dans sa maison, qu’il lit patiemment, avec parfois la découverte de vrais petites « pépites »…

RomanPopulaire1 Une histoire avec une chronologie simple, des personnages bien identifiés, assez binaires, des bons sentiments, une intrigue qui prime sur les considérations de style : voilà quelques une des caractéristiques du roman populaire. Selon les spécialistes, cette expression aurait été employée pour la première fois en 1843 dans la presse socialiste pour évoquer le roman d’Eugène Sue, « Les Mystères de Paris ».

Le roman populaire connut son âge d’or de 1830 à 1900 avec les progrès de l’alphabétisation et le développement de la presse à grand tirage. Des éditeurs spécialisés voient alors le jour : Rouff, Fayard avec la collection « Le Livre Populaire », Tallandier, Ferenczi, La Bonne Presse… Le déclin s’amorce après 1920. Les lecteurs sont « saturés » de feuilletons et le cinéma vient détrôner les histoires sur papier. Après la seconde Guerre Mondiale, le genre s’étoffe avec l’apparition de romans policiers (comme la collection Série Noire), d’aventures, d’espionnage ou de science-fiction.

RomanPopulaire2Lire la suite …

Une famille de collectionneurs

Chez les Van Doren, collectionner est une histoire de famille. Muriel et ses deux filles, Romane et Rosaline, ont chacune leur collection.

Rosaline, 11 ans, est la plus jeune collectionneuse que nous ayons rencontrée dans le cadre de notre série d’été. Depuis quatre ans, la jeune fille de Dion-Valmont collectionne les gommes. «Pas les bêtes gommes que l’on pourrait trouver au supermarché mais plutôt des gommes au look original», raconte-elle en nous emmenant dans sa chambre. C’est dans une grande étagère en forme de pomme, construite par son papa, que trônent les 150 gommes de sa collection. «Elle n’est pas encore très grande mais je ne dépense pas d’argent moi-même pour m’en procurer. Tout ce qui est là, ce sont des cadeaux de ma famille ou des amis. J’ai des voisins qui voyagent beaucoup alors ils m’en ramènent à chaque fois une», explique la jeune fille en montrant des pièces tamponnées Bali, New York ou Paris. Suite…

GommesCes 4 derniers jours, le site Philapostel Bretagne a été visité par des internautes de Thaïlande, Belgique, Allemagne, Pologne, Suisse, des Etats-Unis et du Mexique : bienvenue à eux !

Les collections les plus prisées

Quelle est la valeur d’un objet ? C’est une question que se posent souvent les collectionneurs ou ceux qui ont découvert un « trésor » dans leur grenier. Les objets de collection ont du succès dans les ventes aux enchères, mais il faut respecter certains critères avant de jeter son dévolu sur l’un ou l’autre.

Fin juin, une édition en noir et blanc de l’album des aventures de Tintin « L’oreille Cassée » a trouvé acquéreur pour 24.800 euros lors d’une vente publique organisée à Bruxelles. Et c’est loin d’être un record pour une œuvre d’Hergé. Un mois plus tôt, une planche de Tintin dessinée en 1937 s’est vendue aux enchères pour 2,518 millions d’euros. « Ces dix dernières années, il n’y a pas que l’art traditionnel qui ait atteint ces prix astronomiques », explique Patrick Van der Vorst, expert en art et fondateur du site d’estimation Value My Stuff. « De nombreuses catégories d’objets se vendent particulièrement bien. »

Oreille_casseeLe marché des objets de collection a vu le jour à la fin des années 60’, lorsque les gens ont commencé à collectionner des jouets, des souvenirs sportifs et autres témoins du passé. « Mais tous les objets de collection qui étaient populaires dans le passé n’ont pas conservé le même attrait », explique Van der Vorst. Les vieilles poupées et les cartes de baseball par exemple, n’ont plus la cote.

Avec l’été fleurissent les brocantes. Peut-être avez-vous décidé de vider le grenier de vos grands-parents? La probabilité que vous y dénichiez un véritable trésor est assez faible. « Mais ceux qui collectionnent des objets qui les intéressent réellement, peuvent se constituer une collection de valeur. À terme, cela peut aussi se révéler un excellent investissement, poursuit Van der Vorst. Ne collectionnez que ce que vous aimez et ne laissez pas guider pas les modes. Une bonne collection ne se construit que sur base de vos préférences personnelles, que vous collectionniez par pur plaisir ou dans une optique d’investissement ».

C’est d’ailleurs la devise de Philapostel Bretagne : Collectionnez comme vous aimez !

Suite de l’article très complet de l’Echo.be …

Les insolites de la collection #12

Une collection qui n’est pas prêt de s’éteindre !

Réunir de petits camions rouges dans une vitrine n’est pas une passion en voie d’extinction pour Roger Gardrat. Toute une panoplie de camions de pompiers, quelque 400 véhicules américains, français et japonais, avec du matériel à l’intérieur, soigneusement disposés et recensés dans la vitrine du Saint-Maixentais qui se lance dans une intervention explicative flamboyante pour recommander chaudement les plus pimpants de ses camions.
Il a aussi justifié son choix. « A 3 ans, on m’a offert un camion de pompiers. Depuis, j’ai toujours réuni de nouvelles pièces et toutes les fiches techniques. J’ai aussi une moto-pompe électrique automobile de 1899-1900, des hélicoptères mais aussi des anciennes camionnettes EDF qui ont été traficotés. C’est le premier prototype mis en service pour les pompiers de Paris et c’est le premier qui a existé. Il y a aussi les tubes similaires à ceux de l’ancienne caserne des pompiers de la Trouillette qui était dirigée par le commandant Marignac. J’attends une documentation de Paris pour parfaire ma collection. J’ai aussi un Otchic encore en action, un fourgon attelé du XIXe siècle, une Rosalie de 1898 », énumère le passionné.

collectionneurA Tahiti

« En 1995, lors d’un Noël sous les cocotiers, j’ai été accueilli dans les casernes des pompiers de Tahiti pendant un mois avec des découvertes passionnantes comme un camion américain de 1840. » Bénévole dans la protection civile depuis 22 ans et ouvrier spécialisé dans une entreprise, il trouve toujours du temps pour faire fructifier sa passion dévorante. Et « s’il existe d’autres collectionneurs », comme le précise Roger Gardrat, il faut reconnaître qu’à son échelle, c’est un de ceux qui a vraiment le feu sacré !

Source : http://www.lanouvellerepublique.fr

Un site qui n’est pas prêt de s’éteindre non plus !

Hier, des internautes des Pays-Bas, du Canada, d’Allemagne et de Russie sont venus visiter le site Philapostel Bretagne, et avant hier nous avions des visites de Grèce et d’Algérie : bienvenue à eux !

Les insolites de la collection #11

Savez-vous ce qu’est un puxidiphtéraniepcéophile ? Il va vous falloir un bon bout de temps pour le lire correctement, encore plus longtemps pour le mémoriser. À moins que vous ne fassiez comme moi : passer « par-dessus »…

Mais je vous dis ce que c’est : c’est un collectionneur de photos de boîtes aux lettres ! Eh oui, il faut de tout pour faire un monde de collectionneurs … Et puis nous en connaissons au moins un à Philapostel Bretagne, n’est-ce pas Gérard ?

Alors si cela vous dit, regardez ce diaporama : il en contient de beaux exemplaires … avec en prime la voix de Bourvil !

Et, si pendant nos vacances nous photographions de drôles de boites aux lettres ? Elles pourraient illustrer des prochains articles, et pourquoi pas : les plus originales pourraient être exposées ?

 Marcel

Bon, d’accord, moi aussi j’ai été puxidiphtérie….phile pendant quelques semaines, en octobre 2011. Il faut dire qu’en Nouvelle Calédonie, et particulièrement sur la côte Est du « Caillou », la confection de sa boîte à lettres est un sport national et je n’ai pu que les admirer ! En voici donc quelques exemplaires des plus remarquables :

Oui, vous avez bien vu : les deux dernières sont bien un micro-ondes et un moteur de bateau ! Bien sûr, toutes ces boites sont homologuées par l’OPT (Office des Postes et Télécommunications) … 😉

                                                      Sylvain

Collection de jeux vidéo à vendre (fin)

Philapostel Bretagne vous en parlait dans son article du 30 juin dernier : la plus grande collection de jeux vidéo au monde était à vendre …

Eh bien un inconnu vient d’acheter cette collection pour 750.000 dollars (550.988 euros). Michael Thomasson était depuis l’an passé le propriétaire de la plus grande collection de jeux vidéo au monde (11.000), selon le Guinness des records. Il aura fallu 25 ans à Michael pour réunir tous ces jeux et consoles.

michaeltomasson
Ce sont les obligations familiales qui ont poussé le collectionneur à se séparer de cette collection pharaonique, à contre cœur. ‘Il a bien fallu trouver de la place pour les films Disney » explique-t-il. C’est une collection en très bon état puisque 2.600 jeux sont en encore sous plastique dans leur emballage d’origine et plus de 8.300 ont encore leurs boites avec le manuel.

Ce n’est pas la première fois que Michael se sépare de ses collections. En 1989, Thomasson a vendu sa première collection pour réunir des fonds pour s’offrir une Sega Genesis. En 1998, il remet ça pour financer son mariage.

La collection a été mise en vente le 15 juin dernier sur le site d’enchère en ligne GameGavel. L’inconnu qui a raflé la mise se cache derrière le pseudo « peeps_10091970 ».

Voir la vidéo sur le site du Huftington Post

Les Monnaies parallèles

Connaissez-vous le Céou de Gourdon et la Gariotte de Figeac ? le Ronsard vendômois et le Radis d’Ungersheim ? ou encore le Valeureux de Liège ou la Violette de Toulouse ?

Non ? Alors plus facile car plus proche de nous : peut-être avez-vous entendu parler de la Sardine de Concarneau, de la Muse d’Angers ou peut-être du Retz de Nantes ? Et si je vous dit le Galleco d’Ille et Vilaine ?

Eh bien ce sont toutes des monnaies locales complémentaires ou MLC. La première créée fut l’ Abeille de Villeneuve sur Lot en 2010, sans compter l’expérience du Sol lancé dès 2005 dans plusieurs villes de France dont Rennes et Carhaix. Ce qui était au départ une volonté d’échange ou de troc entre citoyens, est devenu ensuite une monnaie à part entière (et en parité avec l’Euro) avec les principes suivants :
– les Euros dépensés pour acheter des MLC sont sortis des circuits monétaires mondiaux et spéculatifs
– le dédoublement des unités monétaires : les Euros sont épargnés et les MLC consommées
– l’achat en local de marchandises et de biens permet une redynamisation de l’économie locale
– des critères d’écologie permettent d’acheter responsable

Alors pour nous Philapostéliens la question est la suivante : y aura t-il un jour (ou y a t-il déjà) des collectionneurs de ces monnaies parallèles ? La plupart d’entre elles ont en effet un support papier comme vous le montre le diaporama ci-dessous, et la rareté des tirages pourraient en faire des objets, sinon de culte, mais de collection spéculative (ce qui serait un comble par rapport aux objectifs initiaux de ces monnaies !). Cela vous tente ? Vous trouverez ci-dessous quelques liens qui vous permettront d’approfondir le sujet.

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Par contre, plus difficile sera la collection des monnaies virtuelles qui commencent à envahir également les esprits depuis quelques temps. La plus célèbre d’entre elles est le bitcoin, apparu en 2009 et qui est elle, non pas une monnaie sonnante et trébuchante comme peuvent l’être les MLC, mais un système de paiement un peu comparable dans le principe à Paypal par exemple.

Et pour finir, un peu d’humour, cependant véridique : que dire de cette nouvelle monnaie virtuelle qui fait le buzz en ce moment sur Internet, monnaie non équitable car réservée exclusivement à la gente féminine, baptisée le Titcoin, et qui consiste, pour régler ses achats ou consommations … à montrer sa poitrine au commercant !

monnaie_Titcoin
Pour en Savoir + sur ces monnaies parallèles, voici quelques liens :
– le site des MLC
– le Galléco d’Ille et Vilaine
– la Sardinede Concarneau
– mais ma morale le réprouve : vous n’aurez pas le lien vers les TitCoin … que ceux qui le souhaitent arriveront bien à trouver ! 😉

Collection de jeux vidéo à vendre

Souvenez-vous, en 2013, le livre Guiness des records du monde avait déclaré Michael Thomasson le recordman de la plus grande collection de jeux vidéo du monde. Aujourd’hui, c’est plus de 11.000 jeux vidéo qu’il a décidé de mettre en vente.

michaeltomassonMichael Thomasson, qui est encore à ce jour le recordman de la plus grande collection de jeux vidéo au monde, a décidé de vendre l’ensemble de ses jeux. Cela signifie également que l’acheteur repartira non seulement avec une énorme collection de jeux, mais aussi avec le titre de recordman associé. Le Guinness des records avait confirmé que Thomasson détenait 10.607 jeux l’an passé, mais depuis la dernière comptabilisation, il en aura acheté quelques centaines de plus amenant avec lui le record au-dessus de la barre des 11.000 jeux vidéo.

Si vous posiez la question de l’état des jeux, Thomasson déclare que « 2600 d’entre eux sont encore sous blister » et que « près de 8300 sont inclus avec leur boîte et le manuel d’utilisation ». Cette collection lui aura pris près de 25 ans à rassembler, alors pourquoi la vendre maintenant ? D’après Gameinformer, Thomasson et sa famille ont décidé d’un accord commun de vendre la collection grandissante et envahissante, car il ne pouvait plus vivre avec tous ces jeux stockés dans une seule maison. Si les enchères vous intéressent, vous trouverez tous les détails sur cette page, sachant que la mise de départ à été lancée à 9.000 dollars et atteint aujourd’hui les 50.000 de dollars.

Source : Gaming.Gentside.com

Michael Thommason, qui est encore à ce jour le recordman de la plus grande collection de jeux vidéo au monde, a décidé de vendre l’ensemble de ses jeux. Cela signifie également que l’acheteur repartira non seulement avec une énorme collection de jeu, mais aussi avec le titre de recordman associé. Le Guinness des records avait confirmé que Thommason détenait 10.607 jeux l’an passé, mais depuis la dernière comptabilisation, il en aura acheté quelques centaines de plus amenant avec lui le record au-dessus de la barre des 11.000 jeux vidéo. Si vous posiez la question de l’état des jeux, Thommason déclare que « 2600 d’entre eux sont encore sous blister » et que « près de 8300 sont inclus avec leur boîte et le manuel d’utilisation ». Cette collection lui aura pris près de 25 ans à rassembler, alors pourquoi la vendre maintenant ? D’après Gameinformer, Thommason et sa famille ont décidé d’un accord commun de vendre la collection grandissante et envahissante, car il ne pouvait plus vivre avec tous ces jeux stockés dans une seule maison. Si les enchères vous intéressent, vous trouverez tous les détails sur cette page, sachant que la mise de départ à été lancée à 9.000 dollars et atteint aujourd’hui les 50.000 de dollars.En savoir plus: http://gaming.gentside.com/retrogaming/la-plus-grande-collection-de-jeux-video-au-monde-est-en-vente-et-atteint-deja-plus-de-35-000_art1013.html
Copyright © Gentside Gaming
Souvenez-vous, en 2013, le livre Guiness des records du monde avait déclaré Michael Thomasson le recordman de la plus grande collection de jeux vidéo du monde. Aujourd’hui, c’est plus de 11.000 jeux vidéo qu’il a décidé de mettre en vente.En savoir plus: http://gaming.gentside.com/retrogaming/la-plus-grande-collection-de-jeux-video-au-monde-est-en-vente-et-atteint-deja-plus-de-35-000_art1013.html
Copyright © Gentside Gaming
Souvenez-vous, en 2013, le livre Guiness des records du monde avait déclaré Michael Thomasson le recordman de la plus grande collection de jeux vidéo du monde. Aujourd’hui, c’est plus de 11.000 jeux vidéo qu’il a décidé de mettre en vente.En savoir plus: http://gaming.gentside.com/retrogaming/la-plus-grande-collection-de-jeux-video-au-monde-est-en-vente-et-atteint-deja-plus-de-35-000_art1013.html
Copyright © Gentside Gaming

Mondial et Panini

Alors que le Mondial bat son plein, l’échange de vignettes pour compléter son album Panini de la Coupe du Monde au Brésil fait rage, tant chez les petits que chez les grands.

En 1970, année de la Coupe du Monde au Mexique, l’entreprise italienne Panini lançait pour la première fois une édition de ses fameux albums consacrée à la compétition. Depuis, tous les quatre ans, des millions de collectionneurs à travers le monde partent à la chasse aux fameuses vignettes représentant les joueurs des différentes équipes, les stades, etc.

paniniDepuis un peu plus d’un mois, la fièvre Panini s’est emparée du Brésil. Si les Brésiliens semblent moins excités que d’habitude quant à la compétition, nombre d’entre eux n’ont pu résister à la tentation de se lancer dans l’aventure de l’album Panini. Ils ont tout d’abord envahi les cours d’école. Pour Felipe, élève de CM2 au Lycée Pasteur de Sao Paulo, il s’agit d’une tradition familiale : « Mon père m’a expliqué qu’il faisait aussi cet album quand il était petit et que l’objectif à l’école était d’être le premier à l’avoir fini. Alors moi aussi j’en ai voulu un ! Et en plus, je suis fan de foot…« . Bruno et Luiza nous confient qu’ils ne connaissaient pas l’existence de ces albums, mais que les ayant « reçus gratuitement grâce à un abonnement de leurs parents à Veja ou à Estadao« , ils ont eu envie de commencer à le remplir. Suite…

Les insolites de la collection #09

Mondial oblige, je vous propose aujourd’hui « Une collection très sucrée pour supporter les diables »

Tout a commencé lors de la Coupe du monde 1994. «Les diables allaient aux USA. Coca a sorti une série de 14 canettes. C’est comme ça que j’ai commencé ma collection, sans trop savoir où j’allais», explique cet Havelangeois de 33 ans.

À l’époque où tout a démarré, Vincent Gillebert a 14 ans. «J’étais étudiant. Je me suis rapidement rendu compte qu’il y avait d’autres objets à collectionner. J’ai commencé par les gadgets gratuits.» À 17 ans, le jeune homme effectue même un job d’étudiant chez Coca. «Je devais vendre des packs promo. J’en profitais pour récupérer les panneaux publicitaires.»

Coca_diablesAprès avoir collectionné un peu tout et n’importe quoi autour du foot et du Coca, Vincent a choisi de se limiter aux objets anciens, aux canettes et bouteilles en verre. «Comme c’est moins facile à trouver, ça grandit moins vite», sourit le collectionneur. «Avoir des objets rares, cela fait augmenter la valeur de la collection. »

Aujourd’hui, Vincent possède plusieurs milliers de pièces, sur toute une série de thèmes qui dépassent le milieu du sport. Quoique.Suite…

Planète foot : c’est parti !

Eh oui nous sommes partis, que vous le vouliez ou non, pour un mois de compétition mondiale de ballon rond et tous les médias vont nous en abreuver jusqu’au 12 juillet ! Alors, si vous n’êtes pas footeux, si vous préférez vos collections, mais si vous ne souhaitez pas paraitre trop ringards, Philapostel Bretagne vous propose quelques liens multicollections qui vous permettront tout de même de briller en société pendant cette période :

la Coupe du Monde et les timbres par l’Adphile
– les timbres français émis pour France 98 par PhilOuest
– les timbres français émis pour les coupes du monde 2006 et 2010 par le même PhilOuest
– notre article sur Zlatan
– un article très complet de Oh les timbres ! sur les émissions sur la coupe du monde 2010
– tous les timbres sur le foot par KataWiki
– tous les timbres émis pour la Coupe du Monde 2010 par SportsStamps, et ceux de la Coupe du Monde 2014 (en cours de construction)
– le site des Collectionneurs de cartes postales de stades
– la collection de cartes postales du FC Nantes
– les cartes postales des 11 villes brésiliennes qui accueillent Brasil 2014
MaCollectionPanini d’un fou de foot
– Les pièces de monnaie de l’Euro 2012
– Les pièces de monnaie de Brasil 2014
– La capsule de bière Brasil 2014
– La capsule de champagne du Stade de Reims
– Le Monde de la collection Football

Si avec tout cela vous ne sauvez pas la face, je ne peux plus rien pour vous !  😉

brazil2014Hier, des internautes des Etats-Unis, d’Allemagne, du Luxembourg, de Belgique, et de la Guyane ont visité le site de Philapostel Bretagne : bienvenue à eux !

Collection de Johnny aux enchères

Nous vous l’avions annoncée dans notre article du 9 mai dernier : un collectionneur vendait aux enchères sa collection d’objets relatifs à Johnny Hallyday. Et bien c’est fait !

Ce sont 5 000 pièces, accumulées pendant plus de 50 ans, qui ont été vendues aux enchères samedi 17 mai à Bordeaux.

Une centaine de fans de Johnny HALLYDAY se sont rassemblés sur place ou ont suivi la vente à distance ce samedi 17 mai. Les acheteurs sont venus de toute la France mais aussi de la Suisse, des Pays-Bas ou de la Belgique. « Je crois que c’est la première fois en France qu’une collection de cette importance » est proposé aux enchères, a déclaré Me BRISCADIEU, commissaire-priseur.

johnnyParmi les 5 000 objets proposés : une collection incroyable de magazine, de CD, d’affiches, d’objet à l’effigie du chanteur, quelques pièces rares tels qu’un coffret en forme d’étui de guitare regroupant 40 CD de 1960 à 1993, commercialisé à 6 000 exemplaires pour les 50 ans de Johnny HALLYDAY, adjugé à 1 620 euros et de nombreux vinyles qui ont trouvé preneurs pour plusieurs centaines d’euros, comme « Les Solistes », vendu à 695 euros, ou encore des livres, dont un cousu main avec du fil d’or, adjugé à 240 euros.

Le vendeur, un retraité d’une soixantaine d’année qui préfère rester discret, avait débuté sa collection en 1964, à l’âge de 12 ans, après avoir reçu en cadeau son premier vinyle de l’idole des jeunes. Se séparer de cet incroyable trésor est « émotionnellement un déchirement », mais le collectionneur a pour projet de faire un grand voyage avec son épouse. On imagine bien que ces 33 440 euros devraient leur donner un coup de pouce !

Source : http://mfmradio.fr

Jouets de collection : pour qui ?

L’association des collectionneurs lommois organisait le 11 mai, son 31e salon international du jouet ancien et de la poupée. Sur 420 mètres de table, 87 collectionneurs vendaient leurs plus beaux objets. Des petites voitures, des trains électriques, des poupées, des figurines militaires… Il y en avait pour tous les goûts et pour toutes les bourses. De la pièce vendue 1 € à la poupée rare dont le prix affiche 6 000 €.

jouetsDe très nombreux soldats de plomb

Dès l’ouverture, les visiteurs se sont précipités dans la Maison des enfants. « Les trois premières heures, nous accueillons surtout les collectionneurs, raconte Patrick Denève, président de l’association. L’après-midi, c’est plutôt des visiteurs qui viennent sans but précis. » Pourtant, il y avait de quoi faire des affaires. Monica est venue de Livry-Gargan, en Seine-Saint-Denis, pour vendre ses poupées. La plus ancienne date de 1870, les plus récentes des années 1960. Il y a Marie-Françoise, la poupée à habiller, Josette, commercialisée pour Noël 1940 par le Bon Marché, une « pièce unique » vendue 1 200 €, et la première Barbie vendue en France en 1959. « Les poupées, c’est du business, explique la vendeuse. Certains achètent dans le but de les revendre plus tard. C’est mieux que de placer son argent à la banque. ». Suite…

Philapostel Bretagne Infos

* Vous trouverez ci-joint le compte-rendu de la dernière réunion du 15 mai

* Prochaine réunion Philapostel Bretagne Jeudi 12 juin à 18h30, et rendez-vous à partir de 15h30 pour les échanges toutes collections

* Chut … On parle de Philapostel sur Wikitimbres à propos de la Lisa de Murol

* L’Agenda des bourse et salons de collectionneurs est à jour

Hier, ce sont 2 internautes canadiens qui ont visité le site de Philapostel Bretagne : bienvenue à eux !