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Timbre République Tchéque n° 86 chez Michel                                                

Note : Jiri Silva s'amuse avec ce timbre

Créateur :  Vladimir Rencin         Graveur : ?

Vente au public du 9 juin 1995 au ?
Valeur faciale : 5 Kc
Taille : 23 x 30         Dentelure : 111/4 x 111/2         Quantité : ?
Couleur : multicolore
Imprimé en héliogravure et taille douce
Affranchissement :  ?


 


DES HISTOIRES DE TIMBRES-POSTE
Petites histoires humoristiques

Vous aimez certainement comme beaucoup des petites histoires amusantes, pour être fidèle au site elles existent vraiment soit dans le présent ou le passé.

Je ne les cherche pas, mais si j’en trouve ça et là, je vous les raconterai bien volontiers.

La plus récente se trouvera en haut de page.



En 1920 (Source Gallica)
                        

N° PA 1                       N° PA 2                      N° PA 3
 
Timbres de Suéde pour poste aérienne n° 1 à 3 chez Y&T et n° 138 à 140 chez Michel
Notes : Voilà des timbres qui ont bien rendu service à des amoureux.


Créateur : ?   Graveur : ?

Vente au public du 18 septembre 1920 au ?
Valeur faciale : voir sur timbres, il s'agit d'öre suedois.
Taille : ?      Dentelure : 13     Quantité : ?
Couleur : n° 1  brun clair      n° 2  orange-jaune     n°3  lilas
Impression : typographie
Affranchissement : poste aérienne
 
Histoire d'amoureux

Une jeune fille suédoise avait fait promettre à son fiancé, qui était obligé de faire une
assez longue absence, de lui écrire tous les jours. Le jeune homme promis et écrivit
30 lettres qu'il affranchit avec un timbre suédois de poste aérienne portant la surcharge
" Luftpost ".

Lorsqu'il voulu acheter son trente et unième timbre, on lui répondit que le timbre en question
était supprimé parce que la surcharge était renversée. Ce qui, en philatélie constitue une
rareté. La jeune fille, par bonheur, avait conservé les lettres de son fiancé et leurs enveloppes.

Elle vient de vendre les trente timbres qui les affranchissaient au prix de 1 250 francs l'un, soit
au total, 37 500 francs.

Voilà une correspondance amoureuse qui n'aura pas attendu, pour prendre de la valeur.

Très peu de chance que cela arrive à notre époque, en effet on ne met pas de timbres
pour les courriels ni les SMS des amoureux.
 


Timbre République Française n° 3663 chez Y&T
Note : Une poule qui picore du pain dur ...


Créateur : Christophe Drochon   Graveur : Didier Thimonier

Vente au public du 26 avril 2004 au 25 mars 2005
Valeur faciale : 0,50€
Taille : 30 x 40      Dentelure : 133/4 x 13     Quantité : 54 timbres par feuille
Couleur : Multicolore
Impression en héliogravure
Affranchissement : lettre usuelle

 

En 1893 (source Gallica, Le voyageur)

Les véritables poules aux œufs d’or au XIXe siècle
 
Lorsque La Fontaine composa sa fameuse fable, il ne se doutait guère qu’en l’an 1893 on
emploierait  les poulets à chercher des pépites dans le Montana, un des Etats de l’Union américaine ;

Voici le fait :

Un brave fermier des environs de Butle City, J. A. Mac Conville, ayant tué récemment
un de ses poulets pour le manger, a été stupéfait, en le vidant, de trouver une quantité
de pépites d’or dans le jabot et dans le gésier.
N’ayant certainement jamais eu connaissance de la fable de La Fontaine, le brave Mac
Conville s’est mis aussitôt à tuer les trente poules et poulets dont se composait
sa basse-cour, et dans chacun d’eux il a trouvé comme le premier, plusieurs pépites d’or,
il en avait en tout pour 387 dollars, soit une moyenne de 12 dollars par poulet !

Le fermier a vendu son or à la State National Bank, de Butle City, et s’est empressé
de racheter cinquante poules et poulets qu’il a lâchés aussitôt dans les champs aurifères
du voisinage.  Au bout de quatre jours, Mac  Conville a tué un de ses nouveaux poulets
et a encore trouvé dans le gésier pour 2,80 dollars. Le brave fermier, il est à peine
besoin de le dire, est enchanté de sa découverte, et il espère devenir bientôt
millionnaire en employant ses poulets à chercher de l’or.
 


En 1905 (Le collectionneur de 1906 source Gallica)
Petite histoire.

Une brave femme se présente bien timidement au guichet de la poste avec une lettre et les
trois sous pour son affranchissement. Son accent d’un pur patois empêche l’employé de
comprendre, mais apercevant les trois sous et la lettre adressée à un militaire, il devine
facilement que c’est un timbre qu’elle désire. Comme après avoir eu son timbre elle paraissait embarrassée, l’employé lui dit de jeter son pli dans la boite se trouvant à l’extérieur.

Huit jours après notre brave femme revient à la poste mais sans timidité cette fois, et rouge
de colère s’adressant à l’employé : « Voleur ! Tu as gardé l’argent, mon fils à payer six sous ». L’employé se défend comme il peut , ne soupçonnant pas encore ce qui a pu se passer , mais
elle s’écrie, croyant l’accabler d’une preuve irréfutable :
« Ah ! Tu dis ne pas avoir gardé l’argent ! Tiens, regarde, voilà mon reçu » .

Et la pauvre femme  montrait son timbre qu’elle avait conservé précieusement.
Il est toujours bon de conserver ses reçus.


 


En 1907 (L'ecole et la famille de 1916 source Gallica)
Pour comprendre les termes de cette histoire il faut imaginer "l'ambiance" entre la France et l'Allemagne, 2 ans avant la première guerre mondiale, haine qui se poursuivit bien après la fin des hostilités.
Heureusement maintenant tout à changé et personne n'oserait utiliser les termes employés dans cette histoire.
Cependant je préfère garder l'authenticité des écrits de l'auteur, plutôt que de les modifier à ma guise.

 
Collaboration manquée

Un philatéliste français ayant appris, au temps fabuleux de l’avant-guerre, qu’un
confrère allemand terminait sur les timbres-postes un volume analogue à celui
qu’il préparait lui-même, lui écrivit pour lui offrir de réunir leurs documents
mutuels et de  faire paraître en collaboration un ouvrage très complet.

Le Boche répondit aussitôt en termes assez rogues, qu’il n’avait besoin de personne,
« n’ayant pas l’habitude, dit-il, d’atteler à son char un cheval et un âne.

La réplique   du Français ne se fit pas attendre : « Je prends bonne note de
votre réponse écrivit notre compatriote, mais veuillez retenir à votre tour
que je vous interdit absolument de me traiter de cheval, »
 


En 1925 (source Gallica)
Mots de la fin

Les scrupules d’un aviateur-postier.

Entendu par la téléphonie sans fil

Après 3 heures de vol le convoyeur de l’administration des postes dit au pilote
-Dis-donc John, je trouve une lettre sans timbres que faire ?
Le pilote répond :
-Je ne voie qu’une chose à faire : c’est de revenir à notre point de départ pour faire affranchir la lettre.
Après un moment de réflexion :
-Toutefois est-ce que nous ne pourrions pas transporter pour rien pour une fois
« Air Plane »


 



Sam. 8 Fev. 2014

 
Commentaire de tiot

salut
le vent souffle fort et il pleut alors je reste au chaud à lire les histoires
bonne journée

Dim. 29 Dec. 2013

 
Commentaire de Anonyme

Groom service Un couple arrive dans un hôtel. etc..
Je vous remercie de me lire et apprécie votre participation, mais je ne crois pas que ce style de blague soit approprié au site. Bien à vous
Patjoa



 
 
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